top of page
À Paysage Découvert
L’école comme paysage
Depuis le Kamouraska jusqu’à l’île St-Barnabé à Rimouski, en passant par le Parc du Bic, de grandes buttes rocheuses viennent bousculer le paysage entre plaines et battures. Ces formations massives, nommées « cabourons », émergent du sol et animent le paysage de petites montagnes et d’îlots. Notre proposition s’inspire de ces formations monolithiques qui caractérisent les paysages du Bas-Saint-Laurent.
En façade, à l’image d’une de ces crêtes montagneuses, le toit crée un appel visuel fort et attrayant depuis la rue. Les lignes verticales des joints de parement en bois et de la structure viennent dialoguer avec les troncs d’arbres de la forêt avoisinante. Vue de l’arrière depuis les champs et la cour, l’école semble émerger au travers de la plaine.
Cette esquisse d’une école du 21e siècle offre des circulations généreuses, habitées et diversifiées. Les espaces de l’école viennent graviter autour de noyaux de rencontre baignés dans la lumière naturelle et ouverts sur la nature. L’école n’est plus une coquille fermée. Elle est pensée comme un amalgame d’espaces intérieurs et extérieurs développés en relation directe avec le site, la culture et les paysages de la communauté qui la font vivre.
1/7
un paysage et une architecture confondus
L'appel
À l’image d’une de ces crêtes montagneuses, le toit crée un appel visuel fort et attrayant depuis la rue.
Le rythme
Le jeu d’avancées et de reculs de volumes simples rythme les façades et crée une diversité d’espaces à découvrir et à habiter.
La cour
Vue de l’arrière depuis les champs et la cour, l’école semble émerger au travers de la plaine.
L'ensemble
Elle se lit dans le paysage comme un agglomérat de blocs, des cabourons, entre lesquels des percées généreuses laissent pénétrer la lumière naturelle.
un coeur animé
Pour en savoir plus ...
bottom of page